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Qui veut vraiment lutter contre la violence à l’école ?

Erstellt am 26.04.2009 von Andreas Hermann Landl
Dieser Artikel wurde mal gelesen und am 24.05.2009 zuletzt geändert.

http://www.coe.int/t/transversalprojects/children/publications/gittens_fr-Gittins_fr-1.jpg

Il nous faut apprendre à vivre ensemble
comme des frères,
sinon nous allons périr ensemble
comme des imbéciles

Wir müssen lernen,
wie die Brüder miteinander zu leben,
wenn nicht,
werden wir gemeinsam umkommen,
wie die Dummköpfe

Martin Luther KING (1929-1968)

COMMUNIQUÉ – Pressemitteilung

n° 304 de Non-Violence Actualité – Au sommaire:

Schwerpunktthema Gewalt in der Schule



Qui veut vraiment lutter contre la violence à l’école ?
– Wer will wirklich gegen die Gewalt in der Schule kämpfen?
Dramatische Vorfälle in Deutschland und Frankreich

  1. Comme le feu sous la cendre, la violence en milieu scolaire peut surgir et s’inviter à tout moment dans l’actualité. Ces derniers mois l’ont montré avec les événements dramatiques qui ont touché l’école en Allemagne comme en France.Recevant une délégation du lycée de Gagny (93) qui a été la cible d’une agression en mars dernier, le président de la République a assuré «que tout serait mis en œuvre pour qu’un tel événement ne se reproduise pas».Minister sollen rann
  2. Il a demandé aux ministres de l’intérieur et de l’éducation nationale de « lancer, en concertation avec les collectivités locales concernées, une réflexion destinée à renforcer par des mesures opérationnelles la sécurisation des établissements scolaires ».

> Il faut effectivement « tout mettre en œuvre » pour prévenir et lutter contre ces violences spectaculaires qui agitent périodiquement

  1. les politiques comme
  2. les médias et
  3. qui soulèvent – à juste titre -l’émotion du public.

La violence à l’école est devenue une affaire d’État

Depuis le milieu des années quatre-vingt-dix, la violence à l’école est devenue une affaire d’État.

On assiste à une surenchère (souvent verbale) sur la «sécurisation des établissements» censée garantir «qu’un tel événement ne se reproduise pas».

Aucune mesure policière ne pourra pourtant empêcher qu’un déséquilibré passe à l’acte.

Les plans anti-violence qui se succèdent depuis près de vingt ans n’ont rien réglé. Pourquoi un tel échec ?> Devenue un enjeu politique, la violence à l’école est aussi devenue l’objet de manipulation:

  1. soit on l’exagère pour crier à l’insécurité sociale,
  2. soit on nie jusqu’à son existence même.

Mais les faits sont là

Si toutes les enquêtes de victimation montrent la stabilité des phénomènes de violence les plus visibles, la vraie nouveauté réside dans l’explosion des violences quotidiennes, moins médiatiques, qui touchent aussi bien les élèves que le personnel:

  1. Le «harcèlement» scolaire pourrit la vie de nombre d’élèves, d’enseignants et d’établissements.
  2. Les agressions verbales à répétition,
  3. les insultes et
  4. le dénigrement permanent

peuvent avoir des conséquences destructrices tant sur le comportement que sur la vie sociale.S’il est difficile de prévenir un acte de démence, on sait par contre comment prévenir les violences de tous les jours. Il faut tout à la fois

  1. agir sur le fonctionnement des établissements,
  2. renforcer les personnels de surveillance,
  3. d’écoute et de santé,
  4. former les enseignants à la gestion du stress et des situations de crise,
  5. mettre en place des programmes de renforcement des compétences relationnelles et sociales

aussi bien pour les élèves que pour les personnels,

  1. généraliser le travail en équipe et
  2. les techniques de gestion des groupes,
  3. ouvrir l’école vers les familles et le quartier…

Autant de mesures qui ont été évaluées comme efficaces par les chercheurs et mises en place dans de nombreux pays.

Ce n’est qu’à cette condition que l’on pourra affirmer que «tout est mis en œuvre» pour lutter contre la violence scolaire.

Avec des contributions

  1. d’Eric DEBARBIEUX,
  2. Henrick MAGINELLE (GASPAR, 59),
  3. Dominique BERTELOOT (CAAEE, 78),
  4. les dispositifs Relais de l’Académie de Créteil, Hibat TABIB (Afpad, 93),
  5. Égide ROYER,
  6. Hervé OTT,
  7. Sophie BENKEMOUN et la Chronique-BD de Théa Rojzman.

N°304 – MAI-JUIN 2009, 6 euros.

Abonnement: 35 euros (abonnement promo : 28 euros)
Commandes en nombre:

5 ex. 25 euros – 10 ex. 42 euros (port inclus)
NON-VIOLENCE ACTUALITÉ,
BP 241,
45202 Montargis cedex

Tél. 02 38 93 67 22.
Fax. 09 75 38 59 85.
E-mail : nonviolence.actualite@wanadoo.fr

Site : www.nonviolence-actualite.org
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En vous remerciant par avance de votre aide,
Cordialement, Guy Boubault

 

Posted in français, Friedenskultur, Friedenspädagogik, Gewaltprävention

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